vendredi 22 juillet 2011

J'ai accroché mon cerveau au portemanteau puis je suis sorti et j'ai fait la promenade parfaite.
Je vois parfois des choses si belles que je me réjouis de ne pas les posséder.
C'est parce que chacun cherche à tout prix à souffrir le moins possible que la vie est infernale. 
Ci-haut trois extraits du nouveau livre de Christian Bobin  Un assassin blanc comme neige
          Elles réjouissent le vagabond.  
 Et ce sourire...
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